je ne suis absolument pas spécialiste dans ce domaine((c'est trop fort d'arriver à lire entre les lignes de votre part), et ne me permet donc pas de faire de diagnostic quelconque dans ce domaine

!
Tout juste quand je vois quelqu'un en souffrance pendant plusieurs années, et que je le connais bien,je me permet de lui évoquer le bénéfice potentiel de se faire évaluer,ce n'est pas tout à fait la même chose.
Après, la personne à qui je l'ait dis une fois, le fait ou non,c'est son problême,plus le mien.
je pense rester à mon niveau,c'est à dire l'orienter de façon potentiellement bénéfique et probablement d'autres personnes sur ce forum ont déjà agit de la même façon,c'est tout!
jusqu'à il y a 3 ans ,je ne connaissais ni ne m'étais jamais intéressé à ces problématiques,très loin de mon corps de métier.
n'en déplaise à certains qui me font à ce sujet,un petit procès d'intention,(et qui eux justement ont un intérêt

dans ce domaine) je ne suis pas un quelconque sous marin venu défendre un intérêt dans le domaine d'une prise en charge de DYS,mais je dit mon avis ,ce qui n'as pas l'air de plaire à tout le monde !
Donc c'est facile d'essayer de me pourrir à ce niveau,,cela me fait juste rigoler.
Comme je le signale aucun para médical n'est habilité à poser un diagnostic,or poser un diagnostic dans ce contexte,
un diagnostic de dyspraxie correspond à un handicap, pouvant aller jusqu'à une attribution d'une allocation d'adulte handicapé !
ce diagnostic ( en l'ocurrence,c'est pouvoir dire il y a un DYS sous jacent au QI hétèrogène ou l'exclure) doit être posé par un médecin
(si possible qui s'y connait,cela semble trés rare en france,c'est pour cela que je demande un retour d'expérience d'autres personnes à ce niveau)
Dans la mesure ou l'immense majorité des paramédicaux qui s'occupent de ces problématiques sont eux même dans un désert médical,(voir les délais d'accés aux centres de réferences pour les enfants parfois d'un an à un et demi)
il y as à mon avis des dérives à ce niveau/il peut être facile de diagnostiquer psitivementun DYS énorme, mais je pense que quand il y a un certain degré de compensation,on peut passer à coté et l'exclure par défaut d'ou une sous évaluation de la problématique sous jacente.
EN GROS,c'est comme cela en france et les forumeurs ne le savent peut etre pas tous ,j'espère que cela peut être dit sur un forum sans que personne ne se sente agressé.
A savoir qu'un problême complexe doit être évalué par une équipe multidisciplinaire, manifestement,
l'intrication d'un HQI avec un DYS est TRES COMPLEXE.
Par contre , les adultes sudoués ont été eux même enfants ,or à mon époque ,ce type de diagnostic n'était ni évoqué ni de ce fait posé!
L'immense majorité des études sont actuellement faite chez les enfants ,de ce fait, on peut se brosser pour trouver des éléments clefs ne posant aucun soupçon de validité chez l'adulte (taille des effectifs, sérieux des équipes en terme de biais de recrutement,validité des bilans)
par exemple,on se base toujours sur les étude de Terman pour parler d'un suivi à long terme des enfants hp devenus adultes(il faut juste savoir que cette étude remonte aux années 1920)

et là je ne parle que d'une étude de suivi,pas d'une recherche sur des sujets aussi pointus que celui dont on parle sur ce topic.
pour cette raison, je me réfère à ce que j'ai lu essentiellement dans le contexte des enfants, et c'est essentiellement des
neuro pédiatres et des neuropsychiatres qui ont une bonne expérience et qui ont fait une vision plus autorisée sur ces sujets.
Alors, comment faire pour essayer de comprendre la réalité d'une telle problématique,si ce n'est faire des rcherches sur les sites du net de gens qui s'intéressent à ce sujet,en particuliers des parents(dont je suis) qui rencontrent des problématiques de ce type chez leurs propres enfants!
aller juste pour le fun en 2010
ce n'est pas scientifique,absolument d'accord! et je ne l'ai pas trouvé dans PUBMED!
http://aareip01.over-blog.com/article-l ... 99624.html
La dyspraxie de l'enfant intellectuellement précoce
L'AAREIP AIN vous propose
Vendredi 26 novembre à 20h30 à Bourg en Bresse
une conférence débat sur la dyspraxie,
et notamment la dyspraxie de l'enfant intellectuellement précoce
(20 à 25 % des garçons eip concernés),
animée par Valou Duband, conseillère "dys", voir son site internet
Au programme:
A la découverte de la dyspraxie
Qu’est ce que la dyspraxie ?
Est-ce qu’être maladroit veut dire qu’on est dyspraxique ?
Quel est le dysfonctionnement des dyspraxiques ?
Qu’est-ce que la dyspraxie visuo-spatiale ?
Pourquoi un enfant dyspraxique a-t-il besoin d’aménagement ?
Comment aider un enfant dyspraxique ? à la maison, à l’école.
cela n'est absolument pas scientifique,les gens qui ont assisté à cela n'ont appris ce jour là que des" on dit" mais sur le tas ,cela rendra peut service a quelques parents!
effectivement ,chacun bricole dans son coin dans ce domaine encore en 2014!
http://eduscol.education.fr/cid45916/re ... iquer.html
Repérer, Dépister, Diagnostiquer
Christine Lequette, Guillemette Pouget, Médecins de l'Éducation nationale et du Laboratoire Cogni-sciences de l'IUFM de Grenoble et Elsa Peiffer, neuropsychologue (que des baireaux qui n'y connaissent rien,jvous jure on laisse dire nimporte quoi sur ces sites gouvernementaux,ma povdame
Plusieurs rapports d'organismes internationaux (1), UNESCO, OCDE, Commission Européenne, ont mis l'accent sur la nécessité d'une aide pour les enfants en difficultés scolaires. Ce besoin est identifié sous le concept de " Besoins Éducatifs Spéciaux " BES (Spécial Éducational Needs). Un des premiers rapports (Warnock, 1978) estimait que la proportion d'enfants à BES était de 20 %.
Une enquête (2) plus récente réalisée dans l'Union Européenne par l'European Association for Special Éducation montre que 16 à 24 % des élèves en Europe ont des Besoins Éducatifs Spéciaux parce qu'ils présentent des difficultés d'apprentissage. Ce rapport différencie trois types d'élève en situation " d'échec scolaire " en fonction des causes de leurs difficultés :
· 2-3 % ont une déficience avérée : sensorielle, motrice, mentale, autisme.
· 4-6 % ne souffrent pas des déficiences précédentes, mais présentent des " troubles développementaux spécifiques des apprentissages " (dyslexie, dysphasie, dyspraxie…).
· 10-15 % ont des retards dont les causes sont attribuées à des déterminants, économiques, sociaux, culturels, psychologiques, pédagogiques.
En France, les enfants du deuxième groupe (troubles spécifiques des apprentissages)SOIT TSA en abrégé sont très peu identifiés et inclus dans le groupe trois, groupe des élèves en difficulté scolaire. Tout particulièrement, les troubles du langage écrit sont encore trop souvent mal identifiés et mal reconnus.
c'est bien, une petite polémique,cela aura au moins le bénéfice de mettre en exergue cette information que je considère comme cruciale
pour ceux dont le HQI hétérogène leur méritera une étiquette de type
"non,vous n'êtes pas surdoués puisque vous n'atteignez pas le score de QIT de 130"
et on ne sait pas comment vous aider "
de se poser la bonne question du type
je suis potentiellement HQI car mon QI verbal est supérieur ou égal à 130 et que ma courbe de QI corresponds à la courbe prédominante chez les HQI.
et si les indices (IRP,IVT,et IMT)sont "anormalement" bas/ICV ,
c'est peut être tout bonnement parce que j'ai un DYS sous jacent non diagnostiqué(-cable) par le praticien de santé en face de moi (médical ou paramédical) car ne connaissant pas cette problématique de façon suffisamment fine,ou parce qu'il y as une comorbidité (multi dys)qui brouille les cartes,ou encore que le dys est partiellement compensé par mon HQI (les DYS pouvant être considérées comme développementale).
Donc je change de crémerie (je sens que je vais énerver certains,mais c'est pas grave,j'ai le dos large,hihi)
,me renseigne sur les équipes pointues dans ce domaine et prenant mon courage à deux mains ainsi que mon test de QI sous le bras,je m'arrache et vais me faire bilanter de façon complète pour en avoir le coeur net même s'il faut 6 mois ou un an pour avoir un RDV, quitte à faire une remédiation si besoin par la suite(là , on est dans le long terme).
pour moi, c'est la bonne conduite à tenir (et les CAT, je connais)

(private joke)
bisous