Le test me laisse dubitative.
Pour précision je ne l'ai pas passé en France ce qui explique le choix du test international...
Pour savoir reste à passer le WAIS mais je suis bien trop angoissée chronique pour cela

Oui et non. Tu dois dire ça à cause du pré-test en ligne. Mais au vrai test il n'y a pas de suites de nombres ou de bidules de ce genre. L'esprit arithmétique aiguisé comme un rasoir en fin de math-spé n'est pas sollicitié lors du vrai test.Tournesol a écrit :(...) d'autant que leur test, s'il est effectivement basé sur les subtests les plus significatifs, est quand même vachement sensible à l'entrainement, j'ai l'impression... enfin sans l'avoir passé, j'ai eu le sentiment que si je l'avais passé au sortir de la prépa, je l'aurais explosé et beaucoup moins maintenant.
Après, y a quand même une corrélation, c'est certain, mais ça ressemble plus à un test pour type en école d'ingé que pour poête rêveur.....
Absolument.Tournesol a écrit :A mon avis, la création de ce test par MENSA vient de la bonne intention première de permettre l'accès à leur club à un moindre coût.
L'objectif n'est pas le même que celui du WAIS, il n'y a pas vraiment matière à les comparer.
Il n'y a rien de subjectif dans la description que je donne des évènements qui ont eu lieu dans cette salle. Il n'y a pas que moi qui trouvais les solutions ambigües : toute la salle s'est rangée à mon avis ce jour là, examinateurs compris, devant deux cas concrets (les deux exemples de matrices traités à l'oral, en groupe). C'est un fait.nuware a écrit :Le Renard, ce que tu décris des tests comme de l'association reste très subjectif. Je pourrais dire que je ne trouvais pas les solutions ambiguës
nuware a écrit :et que ne n'ai ressenti ni stress ni rejet ni agressivité lors de leur passation, nous ne serions pas plus avancés je pense.
@Le Renard : ça ne me semble pas anodin d'avoir envie de traiter les gens de "connasse!" et de l'exprimer, c'est un peu ce qui a guidé ma réponse. Et je n'avais pas non plus perçu ce test comme un examen scolaire stressant, à passer sous le regard critique d'un examinateur déambulant dans les rangées. D'accord sur le reste...Le Renard a écrit : Cela dit je n'ai, moi non-plus, ressenti ni rejet, ni stress, ni agressivité d'ailleurs, et ne vois pas où j'aurais écrit ça. Gaffe à ne pas déformer excessivement les propos, sinon ce n'est plus du dialogue.
nuware a écrit :@Le Renard : ça ne me semble pas anodin d'avoir envie de traiter les gens de "connasse!", c'est un peu ce qui a guidé ma réponse.
Non je ne le perçois pas non-plus comme tel. Avec dans les pattes la prépa, les années d'école et un master de recherche jeté par-dessus, sans parler de quelques formations complémentaires derrière, je suis parfaitement immunisé aux examens, probablement comme toi.nuware a écrit :Et je n'avais pas non plus perçu ce test comme un examen scolaire stressant, à passer sous le regard critique d'un examinateur déambulant dans les rangées. D'accord sur le reste...
Je vais me permettre un tout petit limite HS, parce que s'ma life, mais quand j'ai passé ces tests j'étais dans une situation d'échec scolaire et social assez patente.Le Renard a écrit : Non je ne le perçois pas non-plus comme tel. Avec dans les pattes la prépa, les années d'école et un master de recherche jeté par-dessus, sans parler de quelques formations complémentaires derrière, je suis parfaitement immunisé aux examens, probablement comme toi.
Ne t'inquiète pas, on t'a vu JoeJoebar a écrit :et je n'ai pas le droit d'avoir une réponse à ma question moi aussi?
"surtout que le rang donné est fonction du nombre de réponses justes tout court, ou du nombre de réponses justes réparties sur la même tranche d'âge de population???"
Donc si je résume :Pour un jeune, un test MENSA c'est 20 euros. Un WAIS, c'est 15 fois cette somme. Il me semble que c'est une bonne chose d'avoir un outil peu cher pour une première approche, indication. Avec les limites qu'il comporte bien entendu. En effet les conditions de passage (stress, non-individuel etc), le peu de subtests, la non-prise en charge par un psy, font qu'en cas d'échec, il ne faut pas en tenir compte. Mais qu'en cas de réussite, c'est peut-être un signe de plus qui incite à aller passer un WAIS. Et peut être un argument à opposer à des parents ou des psy réfractaires. Tout ça pour dire que je trouve dommage, dans ces cas là, de se passer de cet outil.