https://www.publicsenat.fr/emission/doc ... urdoues-e0
et le débat qui suit :
https://www.publicsenat.fr/emission/un- ... nfants-e26
Le dispositif qui est mis en avant est une salle spécifique, avec un surveillant dédié (mais où trouvent-ils assez de moyens pour monopoliser un assistant d'éducation pour une poignée d'élèves ?) et d'autres adultes tuteurs. C'est un havre de paix pour les élèves HP ayant des soucis : ils peuvent être autorisés à s'y rendre quand cela va mal en classe, ils peuvent y pratiquer des activités entre eux (gros plan sur le jeu d'échecs, évidemment
), s'entretenir avec leur tuteur... Ces ados et leurs familles racontent leurs difficultés, leur passé scolaire souvent heurté, mais on donne aussi la parole à plusieurs professionnels (Jacques Grégoire par exemple) qui rappellent que le haut potentiel n'est pas synonyme de souffrance, et qu'il ne faudrait pas passer à côté d'un autre souci en attribuant le mal-être à un test de QI supérieur à 130 (petit tacle à JSF au passage).(réalisateur : Alexandre Bitoun, lui-même HP)
Pour débattre : Monique de Kermadec, la présidente de l'ANPEIP , un sénateur ex Inspecteur Général de l'Education, la chargée de mission EHP pour l'Académie de Paris. On y décrit l'évolution de l'Education Nationale sur le sujet, du surdoué brillant d'antan à l'élève en souffrance d'il y a quelques années, jusqu'à une position plus équilibrée : un élève qui peut s'avérer à besoins particuliers, besoins que l'on tentera de prendre en compte si nécessaire.
