En 1966, Kristen (Amber Heard), une jeune femme, se retrouve enfermée dans l'hôpital psychiatrique de North Bend, dans l'Oregon, après avoir été retrouvée près d'une ferme abandonnée qu'elle venait d'incendier.
Arrivée la nuit, les pensionnaires de l'hôpital sont victimes de mystérieuses disparitions. La jeune femme se retrouve piégée et perdue entre ces murs, à devoir affronter un mauvais-esprit. Mais alors que le danger se fait de plus en plus pressant elle va comprendre à quel point ce fantôme est maléfique, bien plus que tout ce qu'elle aurait pu imaginer...
Bah merde...c'est le nouveau John Carpenter quand même...Je ne pouvais pas rater ça.
C'est quand même le réalisateur de toutes ces petites bombes :
1978 : Halloween, la nuit des masques.
1981 : New York 1997 (Escape from New York).
1982 : The Thing.
1998 : Vampires
Et j'en passe...
En plus les critiques elles sont au top :
Pour Mad Movie : "The Ward" plonge le spectateur dans un profond vertige. Et celui-ci n'aurait pas la même force sans une mise en scène aussi cristalline que celle de John Carpenter.
Me voilà donc installé et prêt à m'en faire mettre plein les mirettes par le maître.
Le film commence...c'est long. C'est long, et j'ai l'impression de l'avoir déjà vu. Alors que non. Je ne l'ai jamais vu.
La blonde mignonne poursuivie par un fantôme...ouais ok. J'attends. Toujours rien...et rien ne viendra.
Ce film est une imposture. Le grand Carpenter tente de me faire sursauter, de me faire peur, mais hé ! John !
Ces effets là, on les connait bordel ! 30 ans se sont écoulés depuis Jason !
C'est convenu à souhait, sans envergure, pas trop mal filmé quand même, mais d'un ennui mes bons enfants !
Tout l'intérêt du film réside dans son twist final que j'avais éventé au bout de 20 minutes.
Passez votre chemin braves gens ! Ce film, digne des plus gros tacherons de l'horreur botoxés au ketchup hollywoodien, n'est qu'une bouillie sans âme, un ramassis d'effets éculés, de fantômes qui surgissent dans les miroirs quand la blonde se relève de l'évier.
Allez, j'arrête de tirer sur l'ambulance et espère que le grand John va se réveiller.
Aucune étoile...sur cinq.
sinon oui catch me if can est sympa. Pas son meilleur pour moi. J'adore romeo et juliet mais je m'appelle Juliette et j'adore claires danes donc je ne suis pas objective. Le fait d'avoir garde le texte original dans un décor moderne etait un pari ose mais gagné pour moi so good pilgrim give me my sin again... 
rimbaud/verlaine est aussi pas mal vu ce qui il incarnait il s'en sort pas mal. Bon jarret de faire de ce topic un ode a di carpaccio avant de me faire taper sur les doigts..
sous entendu c'est impossible de ne pas le trouver bon 
