Dans les premières pages de ce thread ou d'un autre du même genre avait été donné le titre "le miroir de Cassandre", de Werber.
Bon. Etonnée, je me dis que si c'est cité ici, ça peut ptetre être intéressant. Du coup je me plonge dedans et ... PFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFfff
Voilà.
A peu près. Entre l'éternelle réutilisation des mêmes processus, des mêmes phrases, des blagues et autres petites pensées piquées sur le net, de toujours la même trame, qui te donne l'impression d'avoir lu 15 fois le même bouquin...
L'absolue vacuité de ses théories que ce soit sur l'autisme, la physique ou autre (oui mais c'est un roman), oui, et alors ?
Et la fin, la FIN !! "Hop j'en ai marre, aller, j'arrête, fin".
ça va nulle part, j'ai perdu quelques heures de ma vie à lire un roman insipide à la vanne facile, la physique tellement vulgarisée qu'elle en ressemble à une fille de joie, la philosophie de pilier de bar, la trame repompée encore et encore sur à peu près l'intégralité de son oeuvre.
Werber, décidément, c'est fini, j'arrête. ça marchait quand on avait 13 ans, mais là
Deuxième méga déception, le roman lu juste avant.
44 Scotland Street.
Vendu comme un roman feuilleton moderne puisque d'abord publié épisode par épisode dans un journal quelconque avant "vu le succès" d'être publié sous forme de livre.
MDR.
Une daube. Insipide. Aucune fin, aucune conclusion, on te présente plein d'histoires et d'intrigues, et l'auteur a dû les oublier en court de route. Aucun intérêt autre qu'occuper 2h de train.
J'avais lu "le Choeur des femmes" (de Martin Winckler) aussi avant ça. Autant toute la partie médicale et toute la partie sur le traitement gynécologique des femmes est touchant et précis et intéressant, autant la partie roman avec l'histoire de la nana, bof quoi.
Sinon "Notre besoin de consolation est impossible à rassasier", sorte de réflexion philosophique pleine d'espoir et de luv'spirit paradoxalement, faisant quelque peu office de lettre de suicide pour son auteur, Stieg Dagerman.
Prenant et intéressant. ça se lit très vite, et ça se relit aussi vite !
Et en guise de cerise sur le gâteau, un ami me connaissant bien m'a offert un petit bijou des "Ateliers du poisson soluble", sympathiquement nommé "livravore", et illustrant 2 gamins logatomisants sur les monstrordinaires les entourant au quotidien avec une imagination lexicale qui titille le zygomatique.
Livre simple, court, pour enfant, mais franchement, ma meilleure découverte de ces derniers temps
J'attaque "le cercle littéraire des amateurs d'épluchure de patates", roman épistolaire prenant place en Angleterre pendant la seconde guerre mondiale. J'en ai entendu du bon comme du mauvais. On va voir ce que ça donnera.
Voilà pour mes dernières tribulations livresques...
