Que lisez-vous en ce moment ?

[Invité]

Je lis Les vagues de Virginia Woolf.

Tu le trouves comment ? Moi je n'ai pas pu aller au-delà des premières pages...

Et bien, ça me fait le même effet que Proust, j'adore et je repousse. Je ne saurais pas expliquer vraiment...Je décroche par moment et pourtant cette écriture me touche profondément.
Je trouve que Virginia Woolf est un génie mais je prépare déjà une lecture plus "fun" pour l'après

Je pense que c'est une question d'écriture, je ressens à peu près la même chose aussi quand je lis Proust ou Woolf, ou d'autres qui ont en commun ceci:
c'est une écriture étouffante, serrée, riche, et il n'y a aucune place pour le lecteur, pas de blancs pour ses intéprétations, ses images,
il faut être vierge et dans une position soumise d'écoute absolue, et donc disponible.
Yourcenar fait aussi partie des écrivains qui "tiennent toute leur place" dans ses livres, et quand on sait comment elle écrivait, on ne s'étonne pas.

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Marguerite Yourcenar avait coutume d'écrire une page, d'y revenir, et de condenser sa page en une demie page sans perte de sens ni d'infos.Puis elle y revenait, et sa demie page devait tenir dans 10 lignes, puis dans une ligne.Le tout sans pertes de sens, sans pertes d'infos.

Je préfère les livres "à trous", ceux dans lesquels je peux m'inscrire, mettre mon sens, ces livres qui sont un échange entre l'auteur et moi, ceux que j'écris avec lui.
Duras, Le Clezio....et toute la poésie et tout le théâtre contemporains

[Steph]

Oui, c'est exactement cela Cléo. Je pensais justement (parce que ça me trotte dans la tête depuis tout à l'heure) que c'est une écriture qui doit procurer un "plaisir" immense à l'écrivain (pouvoir y mettre tout soi, tout exprimer comme une dentelle d'émotions) mais qu'effectivement l'accès est réduit pour le lecteur, il faut laisser ce que l'on est et se laisser envahir par l'autre.

[Nexus-6]

En ce moment, je lis "L'ultime question" de Juli Zeh

[Kayeza]

Je préfère les livres "à trous", ceux dans lesquels je peux m'inscrire, mettre mon sens, ces livres qui sont un échange entre l'auteur et moi, ceux que j'écris avec lui.
Duras, Le Clezio....et toute la poésie et tout le théâtre contemporains

C'est marrant comme tout ça est relatif d'un lecteur à l'autre. Je prends autant de plaisir à lire Yourcenar que Le Clézio, et pourtant je ne dirais pas que l'un est "à trous" et l'autre pas. Chez Christian Bobin, par exemple, il y a aussi beaucoup de "trous", très peu de lui, beaucoup de la grâce divine, d'une certaine façon. Et pourtant, je ne peux jamais lire beaucoup à la fois, tellement cette grâce divine rend le tout dense - et puis je dois aussi faire des pauses pour avoir le temps d'admirer cette écriture, cette poésie

[Invité]

Je préfère les livres "à trous", ceux dans lesquels je peux m'inscrire, mettre mon sens, ces livres qui sont un échange entre l'auteur et moi, ceux que j'écris avec lui.
Duras, Le Clezio....et toute la poésie et tout le théâtre contemporains

C'est marrant comme tout ça est relatif d'un lecteur à l'autre. Je prends autant de plaisir à lire Yourcenar que Le Clézio, et pourtant je ne dirais pas que l'un est "à trous" et l'autre pas. Chez Christian Bobin, par exemple, il y a aussi beaucoup de "trous", très peu de lui, beaucoup de la grâce divine, d'une certaine façon. Et pourtant, je ne peux jamais lire beaucoup à la fois, tellement cette grâce divine rend le tout dense - et puis je dois aussi faire des pauses pour avoir le temps d'admirer cette écriture, cette poésie

Mais je prends aussi beaucoup de plaisir à lire Yourcenar!
Et je suis d'accord quand tu parles de la densité des styles "à trous".
Car ces "trous" ne sont pas vides

[256Cecile]

Je lis souvent deux, voire trois, livres simultanément, un "long" et un ou deux "courts" (le nombre de pages n'indique évidemment pas la "longueur" du livre. "Long" ou "court" concerne mon temps de lecture). En ce moment:
*"Il n'y a pas de grandes personnes" d'Alix de Saint-André (plutôt que de relire Malraux...)
*"l'ambition ou l'épopée de soi" de Vincent Cespedes (lire un philosophe vivant, ça me fait du bien...)
* les mille et une vie de Billy Milligan" de Daniel Keyes ( à propos d'une personnalité multiple qui a défrayé la chronique en Ohio dans les années 80...)

[Tatou]

La Horde du Contrevent, de Alain Damasio.

Un groupe d'élite, formé dès l'enfance à faire face, part des confins d'une terre féroce, saignée de rafales, pour aller chercher l'origine du vent. Ils sont vingt-trois, un bloc, un nœud de courage : la Horde. Ils sont pilier, ailier, traceur, aéromaître et géomaître, feuleuse et sourcière, troubadour et scribe. Ils traversent leur monde debout, à pied, en quête d'un Extrême-Amont qui fuit devant eux comme un horizon fou..

Captivant.

Vouui ! L'une des meilleures choses que j'ai lues dans le domaine de l'imaginaire (avé de la philosophie dedans) depuis longtemps !

C'est sublime. Une écriture à précise, rêveuse, un univers magnifique et terrifiant. Du sens.

Un lien vers un vieux fil de ce forum à propos de l'auteur et de son oeuvre : http://adulte-surdoue.fr/post16410.html ... sio#p16410

[Raphaël]

Je viens tout juste de terminer Royaumes d'Ombre et de Lumière, de Roger Zelazny, auteur de Science Fiction qui a, durant trente cinq ans de carrière écrit de la SF nourrie de mythologie. C'est un de mes auteurs favoris, son Cycle des Princes d'Ambre est l'oeuvre qui totalise le plus de mon temps de lecture, vu que j'ai lu les 5 premiers tomes 8 fois, et les 5 suivants 5 fois...
Ici c'est la mythologie Égyptienne qui est attaquée, mais l'on glisse rapidement vers la science-fiction la plus foutraque, Zelazny nous balançant, comme à son habitude de l'épique au poétique, de l'humour à l’exotique, le tout dans une ambiance polymorphe qui souffle le chaud et le froid sur le lecteur qui doit bien s'accrocher aux pages s'il ne veut pas finir perdu entre les lignes qui se croisent...

ET J'ADORE ÇA!

[Mirabelle]

J'avais dit plus haut que j'attaquais "Belle du Seigneur" de Cohen, avec enthousiasme et curiosité...
Hum, j'ai fini avec beaucoup de mal. En soi, l'histoire en elle-même bien qu'agaçante à mon avis, tient la route. Le style de Cohen est cependant très particulier, et même si ça colle parfaitement à ses personnages et à ce qu'il leur fait vivre, j'ai trouvé ça assez ennuyeux... Un peu déçue donc.

Par contre, j'ai aussi lu "L"Insoutenable légèreté de l'être" de Kundera, et là : BIG UP. J'ai adoré la manière dont il analyse ses personnages au fur et à mesure qu'il raconte leur vie. Et puis ça m'a aidé à reformuler des tas de questions qui me posaient problème, et à en soulever d'autres auxquelles j'avais pas pensé mais qui pourtant sont fondamentales...

Et aussi, en filigrane y a eu une petite lecture un peu déstabilisante, un récit érotique nommé "la famille Guerlonprez saisie par la débauche". Scènes érotiques absolument délirantes (pour moi), ça m'a mis mal à l'aise...

[Mariaflores]

De Françoise Héritier : Le sel de la vie

[FeverDream]

J'avais dit plus haut que j'attaquais "Belle du Seigneur" de Cohen, avec enthousiasme et curiosité...
Hum, j'ai fini avec beaucoup de mal. En soi, l'histoire en elle-même bien qu'agaçante à mon avis, tient la route. Le style de Cohen est cependant très particulier, et même si ça colle parfaitement à ses personnages et à ce qu'il leur fait vivre, j'ai trouvé ça assez ennuyeux... Un peu déçue donc.

Par contre, j'ai aussi lu "L"Insoutenable légèreté de l'être" de Kundera, et là : BIG UP. J'ai adoré la manière dont il analyse ses personnages au fur et à mesure qu'il raconte leur vie. Et puis ça m'a aidé à reformuler des tas de questions qui me posaient problème, et à en soulever d'autres auxquelles j'avais pas pensé mais qui pourtant sont fondamentales...

Et aussi, en filigrane y a eu une petite lecture un peu déstabilisante, un récit érotique nommé "la famille Guerlonprez saisie par la débauche". Scènes érotiques absolument délirantes (pour moi), ça m'a mis mal à l'aise...

Belle du seigneur et L'insoutenable légèreté de l'être: deux de mes bouquins préférés .

Bien sûr, les impressions changent d'un lecteur à l'autre, mais j'aimerai donner timidement mon avis sur Belle du Seigneur qui t'a laissé un goût amer.

Il est vrai que le début est assez dur à encaisser, mais je pense que c'est nécessaire pour l'implantation de l'histoire, et contrairement à toi, à la fin du roman, je me suis dis "Quoi? C'est déjà fini? Mais noooon!" (comme quoi c'est vraiment subjectif). Je l'ai trouvé cru de vérité, une vision qui pourrait en dégoûter certains, mais que j'ai trouvé particulièrement lucide, réaliste. Je déteste les histoires d'amour gnan-gnan à l'eau de rose (type Marc Levy), et celui là a beau transpirer le romantisme, il n'en demeure pas moins éloigné des clichés que les auteurs aiment s'approprier avec facilité. Et pourtant, les scènes passionnelles sont jouissives (je me demande si ce mot est bien approprié), et nous donne avec une facilité déconcertante la quintessence de leur liaison. Et son style d'écriture... Je me suis régalée face à tant de lyrisme, à cette façon que tu décris si "particulière" d'écrire. Il sait user de la langue française et en jouer comme si chaque mot renvoyait à une merveilleuse mélodie qui possède un sentiment, une appartenance particulière. Je me suis vraiment amusée à décortiquer chaque phrase. Ce genre d'écriture me possède entièrement, me transporte, et me marque des jours voir des semaines durant. Bref, je le recommande chaudement!

[Raphaël]

Cadeau de Noël, j'ai reçu une magnifique édition de L'Art de la Guerre, de Sun Tzu. Et il y a plus de texte connexes que d'écrits du maître. D'un côté il y a une longue introduction hyper documentée sur l'auteur, l’œuvre et son impact à travers les âges (il aurait été écrit il y a 2400 ans environ...). De l'autre il y a les commentaires de stratèges chinois qui, à travers les siècles ont relu et annoté, complété, paraphrasé, et illustré d'anecdotes guerrières les propos du maître, donnant à ses paroles d'apparence parfois légères et/ou énigmatiques tout le poids et l'importance de l'histoire guerrière chinoise.

Mais ce qui impressionne le plus, c'est que Sun Tzu, il y a 2400 ans, a pris la problématique de la Guerre dans son intégralité. Qu'est-ce que l'armée pour un état? Quelles sont les conséquence économiques et sociologiques de la guerre? Comment faire la guerre en faisant le moins de dommages humains, économiques et sociologiques possibles? Quelle est l'importance des espions? Quel est le rôle du contre-espionnage? Comment gérer les agents doubles? Etc. etc. M'est avis que s'il n'avait écrit son Art de la Guerre sur des tablettes de bois attachées ensemble par des lacets de cuir, il aurait écrit beaucoup plus. Mais l'on devait à l'époque synthétiser au maximum, le moindre propos écrit prenait vite une place et un poids conséquent, les 13 chapitres de l'Art de la Guerre devait être livrés avec un char à bœuf!

[Mirabelle]

Hello FeverDream!

Je suis bien d'accord avec toi, au fond. C'est assez remarquable, dans la justesse. Sûrement que ce qui m'a agacée (pas mal - mais pas que!) c'est que j'ai pu m'identifier aux deux protagonistes ; à travers plusieurs de mes histoires d'amour j'ai vécu des choses qui sont un peu revenues à moi en lisant.

Ce qui m'a le plus "énervée", c'est le lyrisme justement, pour moi c'est vraiment trop ; j'ai un peu honte d'écrire ça là, parce que c'est sûrement très prétentieux, mais à la lecture de certains passages loooooonnguement détaillés sur les pensées sautillantes des différents personnages , j'ai été prise d'un ennui et d'un agacement insupportables, au point de me dire "moi aussi j'écris un livre de mille pages en faisant des descriptions hyper longues et méticuleuses et en écrivant des chapitres entiers sans queue ni tête, c'est facile" ...

Mais bon, on peut considérer que c'est très bien joué de la part de Cohen : on vit leur histoire au même rythme que les personnages.

Edit : j'ajoute que quand même... il n'est pas tendre avec ses personnages, pas de pitié, c'est un vrai carnage, ils en prennent tous pour leur grade!! Ça c'est aussi désopilant que jouissif. J'ai été outrée et vraiment amusée quand le Petit Deume (ATTENTION SPOILER!!!!) se dit qu'il ne va pas le faire, mais qu'il le fait quand même, et que de longues pages après on apprend qu'il s'est loupé...

[Sofifonfec]

Réaction tardive à quelques posts plus haut :

Tatou, tu me donnes très envie de découvrir Damasio - je connaissais Antonio, mais pas Alain

Et Cléo, ce que tu dis sur la place laissée, ou non, au lecteur, me semble très juste ! J'ai toujours su qu'il y avait des textes que je pouvais lire n'importe quand, même dans les moments où je me sens le plus tourmentée ou absente (Bobin ), et d'autres pas du tout.

Et puis il y a les livres qui arrivent précisément au bon moment.
Je viens de finir Lambeaux, de Charles Juliet... The right book at the right time.

[K'tset]

Hello, je viens de terminer "La leçon inachevée" d'Hermann Hesse, "L'insoutenable légèreté de l'être" de Kundera. Le premier est de mon auteur fetiche qui touche tout particulièrement mon histoire perso, j'ai aimé (mais pas autant que le "louloup" des steppes qui aura changé ma vie). C'est un reccueil de nouvelles où l'auteur se remémore ses années d'enfance (avec tous les doutes relatifs aux souvenirs qu'on déforme). Le 2e est extraordinaire, big big up. Cette description de 4 personnalités principales et tellement différentes (Tomas, Tereza, Sabina et Franz) au temps du Printemps de Prague est simplement extraordinaire. La dernière partie m'a particulièrement bouleversée, j'ai laissé parler mes larmes. M'attendent (entre autres) "la plaisanterie" de Kundera, des Nietzsche que je voudrais découvrir, des Amélie Nothomb (ma récréation tant j'adore son style noir, décapant et décalé), "L'utopie" de Thomas More et plein plein d'autres que j'ai eus pour Noël. Affaire à suivre

[Raphaël]

Je voulais dire un mot moi aussi à propos d'Alain Damasio. C'est en lisant La Horde du Contrevent que je me suis senti profondément et putaindement chanceux d'être francophone pour la première fois de ma vie. C'est de la fantasy mâtinée de Science Fiction, soit tout ce que j'aime, mais c'est avant tout de la TRÈS TRÈS GRANDE littérature. Je n'ai jamais lu une écriture aussi riche, aussi habile, et pourtant j'aime la poésie.

[Steph]

"La Horde du Contrevent" fait partie de ma dernière commande de livres et de musique. Je brûle d'envie de le lire! Merci tous pour vos partages, c'est vraiment chouette.

[Nexus-6]

J'ai vu 2 fois Alain Damasio lors des Utopiales à Nantes, c'est vraiment quelqu'un de sympathique et drôle, il a un avis très tranché sur les nouvelles technologies, c'est toujours un plaisir de l'écouter.

J'ai acheté aussi "La Horde du Contrevent" mais je n'ai pas encore commencé à le lire, pour l'instant, je lis "Metro 2034".

[Kliban]

Je viens tout juste de terminer Royaumes d'Ombre et de Lumière, de Roger Zelazny, (...) Ici c'est la mythologie Égyptienne qui est attaquée, mais l'on glisse rapidement vers la science-fiction la plus foutraque, Zelazny nous balançant, comme à son habitude de l'épique au poétique, de l'humour à l’exotique, le tout dans une ambiance polymorphe qui souffle le chaud et le froid sur le lecteur qui doit bien s'accrocher aux pages s'il ne veut pas finir perdu entre les lignes qui se croisent...

ET J'ADORE ÇA!

Marrant, je suis juste ne train de le commencer, dans un recueil de trois novella regroupant Seigneur de Lumière (une relecture allumée du bouddhisme en panthéon hindou), Royaume d'ombre et de lumière, et L'oeil du chat. J'ai beaucoup aimé.

Sinon sur le Contrevent, c'est de la (très grande) littérature de l'imaginaire perfusée de Deleuze. Et ce que tu dis de Damasio m'a fait cet effet en lisant Qu'est-ce que la philosophie ? et des passages de Mille-Plateaux co-écrits tous deux avec Guattari.

Sinon, à mon habitude, trop de choses à la fois - Physique statistique, Transitions de phase, Témoignages de psychanalystes, Récit de voyage spirituel en Inde, Le témoignage autobiographique de Schovanec (Asperger), etc. Rien d'exceptionnel, au demeurant - aucun de ces livres ne me captivera assez pour que je ne les lise pas en plusieurs fois, peut-être sur des années ou des mois.

[Branwen]

Les livres, ma drogue, ma religion, mon amour fou....
Je crois que la seule personne de mon entourage qui lit plus que moi est Raphaël !

En ce moment, je re-lis le Cycle des Robots d'Asimov (Les Cavernes d'Acier, pour être exacte). Je l'avais lu enfant, mais beaucoup de choses ont été effacées par l'action du temps, bien que je me souvienne de pas mal de nouvelles finalement.
Questionnement oblige, je lis Trop intelligent pour être heureux. Je pensais le lire rapidement, mais finalement, non. Trop difficile de replonger dans le passé... Très intéressant néanmoins, ça soulage de se sentir compris pour une fois.

Je suis limitée à ces deux ouvrages vu que j'ai plus ma bibliothèque avec moi (elle est éparpillée un peu partout en France), mais ça va venir

[lepkducomen]

Bon j'aimerais rentrer dans la conversation comme si de rien était mais vu le nombre de post, j'avoue je n'ai pas tout lu... ou si peu. Bon quitte à faire tâche je me lance.

Pour ma part je n'ai jamais vraiment lu durant ces dernières années, mais je suis entrain de changer. Je souhaite combler mes lacunes littéraires et enrichir ma culture personnelle. Je suis tellement dans ma phase "lire lire lire" que je me suis inscrite sur le réseau social des lecteurs Babelio. S'il l'un d'entre vous y est membre, je serais heureuse de comparer nos lectures, nos critiques, ect en devenant "ami". (mon pseudo là bas? lepk, pour changer...)

J'ai donc pour objectif de lire tous les livres de ma bibliothèque qui n'ont jamais été lus...
En ce moment mon choix c'est porté sur un petit livre abordant le sujet des castes en Indes, plus précisément sur les intouchables.
Enfin voili voilou.

[Raphaël]

On ne va pas faire un concours de liste de lecture, Branwen, mais je pense que tu lis plus que moi en terme de diversité et de régularité. Moi j'ai toujours L'Art de la Guerre de Sun Tzu sur la table de nuit, mais en réalité je suis en train de me relire AKIRA, le manga culte de Katsuhiro Otomo...

[Kliban]

En ce moment mon choix c'est porté sur un petit livre abordant le sujet des castes en Indes, plus précisément sur les intouchables.

Lequel 'xactement - si c'n'est point secret ?

[lepkducomen]

En ce moment mon choix c'est porté sur un petit livre abordant le sujet des castes en Indes, plus précisément sur les intouchables.

Lequel 'xactement - si c'n'est point secret ?

Le livre s'intitule "Une enfance intouchable : La condition des hors-castes en Inde", de Balwant Singh, collection "j'accuse".
Un petit livre sans prétention qui met avant tout, je pense, le pied à l'étrier au thème...

[Branwen]

On ne va pas faire un concours de liste de lecture, Branwen, mais je pense que tu lis plus que moi en terme de diversité et de régularité. Moi j'ai toujours L'Art de la Guerre de Sun Tzu sur la table de nuit, mais en réalité je suis en train de me relire AKIRA, le manga culte de Katsuhiro Otomo...

J'avais pas idée de faire un concours, mais plutôt de souligner que j'ai rarement l'occasion de parler lecture car peu de gens autour de moi lisent plus d'un ou deux livres par an
Très maladroitement, certes ^^:

J'ai pensé à un truc vu au Japon : récemment est sorti un art book ultime et somptueux sur l'univers d'Akira