[mention]Enuma[/mention] oui, bravo! C'est la partie sur le premier commandement, Un seul dieu tu adoreras.
[mention]enufsed[/mention] bien vu! Mais je pensais que ce serait toi qui trouverais : un admirateur de Tarkovski comme toi devrait connaître par cœur Kieslowski, non?
Ah, moi aussi le film m'avait profondément dérangée et à l'heure actuelle, je ne saurais encore quoi en penser. Je fais partie des admiratrices de Lars Von Trier pour des raisons esthétiques et intellectuelles, mais dans l'ensemble, ses idées me font froid dans le dos.
Bref, enchaînons. On reste dans le christianisme militant...
Il doit s'agir de son film récent Une Vie Cachée. Cependant, je ne l'ai pas vu, seulement l'affiche. Si c'est la bonne réponse, je propose de laisser la main à Léo, qui était tout près du but, si elle le souhaite.
Le monde entier est un théâtre,
Et tous les hommes et les femmes seulement des acteurs;
Ils ont leurs entrées et leurs sorties,
Et un homme dans le cours de sa vie joue différents rôles… William Shakespeare, (Comme il vous plaira)
[mention]Léo[/mention] : Coucou. J'hésitais entre Little Miss Sunshine et Juno mais je crois que c'est ni l'une ni l'autre.
Le monde entier est un théâtre,
Et tous les hommes et les femmes seulement des acteurs;
Ils ont leurs entrées et leurs sorties,
Et un homme dans le cours de sa vie joue différents rôles… William Shakespeare, (Comme il vous plaira)
[mention]cherubim[/mention] Non... mais c’est une histoire d’enfance... d’enfant avec une mère très jeune comme le montre la photo... Autre image avec un acteur plus connu
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Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
"Soudain, la jeune fille, le plus tranquillement du monde, entreprit de se curer le nez avec les doigts." Witold Gombrowicz
Tartempion a écrit : ↑lun. 21 sept. 2020 13:10
Le secret des poignards volants ?
Non, pas ce navet - je plaisante .
C'est également un film d'arts martiaux, bien que l'essentiel du sujet ne soit pas du tout là. Mais ce n'est pas le même pays.
Deux indices : le titre du film renvoie indirectement à une orientation sexuelle, prise dans sa dimension à la fois transgressive et majoritaire au sein d'une société particulière. C'est le dernier film de son auteur, qui y critique sévèrement, par le biais d'une fiction historique, la société de son pays.
La réponse était Tabou, de Nagisa Oshima. Pas son meilleur film, loin de là, mais qui mérite amplement d'être vu, ne serait-ce que pour la performance magnifique de Takeshi Kitano.
La main à qui la veut.