Artober 2020
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Re: Artober 2020
[mention]Holi[/mention] J'aime beaucoup le funambule.
Hors-sujet
Ici problème informatique, je n ai plus d ordinateur que mon téléphone donc je suis réduite au quasi silence par non accessibilité de mes photos et risque de grosses fautes... A plus tard donc Troglo
- Nébulive Sakura
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Re: Artober 2020
Merci beaucoup [mention]Judith[/mention] !
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19. Vertigineux
Le vertige... Cette peur du vide... Intérieur et extérieur... Tomber ou grimper toujours plus haut... Spirale de la vie... Perte de sens...
L'échelle de Jacob
___________________
19. Vertigineux
Le vertige... Cette peur du vide... Intérieur et extérieur... Tomber ou grimper toujours plus haut... Spirale de la vie... Perte de sens...
L'échelle de Jacob
« Quand j'étais arriéré, j'avais des tas d’amis. Maintenant, je n'en ai pas un. »
« L'intelligence et l'instruction qui ne sont pas tempérées par une chaleur humaine ne valent pas cher. »
« Tu ne sais pas ce que c'est d'avoir quelque chose qui se passe en toi, que tu ne peux ni voir ni contrôler, et de sentir que tout te file entre les doigts. »
« Qui peut dire que mes lumières valent mieux que ta nuit ? »
Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
« L'intelligence et l'instruction qui ne sont pas tempérées par une chaleur humaine ne valent pas cher. »
« Tu ne sais pas ce que c'est d'avoir quelque chose qui se passe en toi, que tu ne peux ni voir ni contrôler, et de sentir que tout te file entre les doigts. »
« Qui peut dire que mes lumières valent mieux que ta nuit ? »
Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
- Holi
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Re: Artober 2020
Merci
À force de penser à ce que les autres pensent de nous, on en oublie de se penser soi-même.
Christophe André
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Re: Artober 2020
Holi j'aime bcp le rendu de la glace dans trap. on dirait que je parle en code.
Une bougie offre sa lumière aux alentours, pendant qu'elle se consume. (Proverbe chinois)
Re: Artober 2020
Bon alors j’ai bien failli sortir mon joker…face à cette première vertigineuse inspiration :
Et finalement je me suis laissée portée par une chanson.
Ecoutée hier soir, Blizzard : https://www.youtube.com/watch?v=HMpmedi_pH4
Bon j’aurais aimé m’en éloigner un peu plus, avec plus d’inspiré et moins de reproduit/copié, mais j’ai pas réussi à me détacher de certaines phrases. Donc je le livre ainsi, même si j’aurais souhaité encore le travailler. Donc, avec l’insertion de mots (en italique) empruntés à Fauve.
Et finalement je me suis laissée portée par une chanson.
Ecoutée hier soir, Blizzard : https://www.youtube.com/watch?v=HMpmedi_pH4
Bon j’aurais aimé m’en éloigner un peu plus, avec plus d’inspiré et moins de reproduit/copié, mais j’ai pas réussi à me détacher de certaines phrases. Donc je le livre ainsi, même si j’aurais souhaité encore le travailler. Donc, avec l’insertion de mots (en italique) empruntés à Fauve.
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Re: Artober 2020
#Day 19 - Dizzy
Lorsqu'elle marche
Perchée sur ses hauts talons
Mon coeur s'emballe
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- brice1992
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Re: Artober 2020
L'aventure de Hope continue, un petit extrait de la suite pour le jour 17 18 et 19.
Continuons de mettre un peu d'amour et de bonheur ici
« Hope : le ciel, le menhir et la terre »
C’était la fin de l’été, cette belle saison puissante par ces variations qui laissaient les éléments s’exprimer aussi rapidement qu’un éclair gronde.
Cette période, offrant une longue éclaircie soutenue de chaleur et donnant parfois naissance à différentes tempête et orage, avait fini son tour de garde.
Celle-ci laissait place à l'automne qui venait à son tour tapisser les sentiers de feuilles multicolores.
Le soleil, qu'il appelait maintenant "l'ami" depuis cette rencontre étoilé, accordait également, plus de temps à sa lointaine cousine.
Celle à la peau bosselée qui se jouait de montrer un nouveau visage au quartier et reflets de couleurs variant chaque nuit.
L’univers lui offrait effectivement un peu plus de temps pour éclairer ce ciel obscurci.
Cet horizon nuitée aux points scintillants imprégner le monde de cette immensité si lointaine et pourtant, finalement accessible.
Il arriva enfin devant ces pierres gigantesques et vertigineuses, comme piégé et enraciné dans les profondeurs de la terre. Exactement celle que le petit cupidon lui décrivit à l’abord de la fontaine où leurs chemins s'étaient croisés.
Il avait pu lire quelques lignes étant plus jeunes sur ces fameux "mégalithes". Cet écrit narrait, une possibilité bien que folle d'une communication entre eux, d'un transfert d'une énergie invisible venu du centre de ce monde.
L'expérience qu'il avait vécue, vivait et qu’il vivrait encore lors de son parcours lui laissait maintenant entendre que l'impossible était finalement possible.
Il prit alors une grande respiration, et sentit une chaleur intense lui traversant tout le corps. Comme un flux entrant dans son pied droit, tournoyant dans son bassin avant de le délester par son pied gauche.
Son instinct le poussa à poser sa main sur un de ces rochers, ses paupières recouvrant ses yeux il se laissa envahir par ce flux, qui maintenant, il le sentait, se frayait un chemin de par sa nuque avant de rejoindre le sol sur laquelle ses pieds étaient stablement ancré, relié à elle, comme des racines d’un chêne massif. Les 3 petites pierres aux différentes couleurs que ce petit garçon lui avait données, et qu’il tenait fermement dans sa main droite se misent alors à chauffer ce qui lui procurait une sensation de complémentarité absolue. Pris dans un élan de passion, il fit alors un vœu. Celui de chérir et partager ces sensations comme lui avaient conté ce vieux sage dans cette auberge que le destin avait mis sur sa route.
Continuons de mettre un peu d'amour et de bonheur ici
« Hope : le ciel, le menhir et la terre »
C’était la fin de l’été, cette belle saison puissante par ces variations qui laissaient les éléments s’exprimer aussi rapidement qu’un éclair gronde.
Cette période, offrant une longue éclaircie soutenue de chaleur et donnant parfois naissance à différentes tempête et orage, avait fini son tour de garde.
Celle-ci laissait place à l'automne qui venait à son tour tapisser les sentiers de feuilles multicolores.
Le soleil, qu'il appelait maintenant "l'ami" depuis cette rencontre étoilé, accordait également, plus de temps à sa lointaine cousine.
Celle à la peau bosselée qui se jouait de montrer un nouveau visage au quartier et reflets de couleurs variant chaque nuit.
L’univers lui offrait effectivement un peu plus de temps pour éclairer ce ciel obscurci.
Cet horizon nuitée aux points scintillants imprégner le monde de cette immensité si lointaine et pourtant, finalement accessible.
Il arriva enfin devant ces pierres gigantesques et vertigineuses, comme piégé et enraciné dans les profondeurs de la terre. Exactement celle que le petit cupidon lui décrivit à l’abord de la fontaine où leurs chemins s'étaient croisés.
Il avait pu lire quelques lignes étant plus jeunes sur ces fameux "mégalithes". Cet écrit narrait, une possibilité bien que folle d'une communication entre eux, d'un transfert d'une énergie invisible venu du centre de ce monde.
L'expérience qu'il avait vécue, vivait et qu’il vivrait encore lors de son parcours lui laissait maintenant entendre que l'impossible était finalement possible.
Il prit alors une grande respiration, et sentit une chaleur intense lui traversant tout le corps. Comme un flux entrant dans son pied droit, tournoyant dans son bassin avant de le délester par son pied gauche.
Son instinct le poussa à poser sa main sur un de ces rochers, ses paupières recouvrant ses yeux il se laissa envahir par ce flux, qui maintenant, il le sentait, se frayait un chemin de par sa nuque avant de rejoindre le sol sur laquelle ses pieds étaient stablement ancré, relié à elle, comme des racines d’un chêne massif. Les 3 petites pierres aux différentes couleurs que ce petit garçon lui avait données, et qu’il tenait fermement dans sa main droite se misent alors à chauffer ce qui lui procurait une sensation de complémentarité absolue. Pris dans un élan de passion, il fit alors un vœu. Celui de chérir et partager ces sensations comme lui avaient conté ce vieux sage dans cette auberge que le destin avait mis sur sa route.
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Aux plus savants auteurs comme aux plus grands guerriers, Apollon ne promet qu'un nom et des lauriers. Ces tables, dévouées un jour à d'avides morsures, ne doivent point t'effrayer : les destins sauront s'accomplir, et l'oreille d'Apollon ne sera point sourde à tes prières.
- Thresh
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Re: Artober 2020
[mention]brice1992[/mention] : Hope c'est un peu le contraire d'Inktober Positif, empli d'une belle énergie!
Changement d’ambiance …bon appétit !
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Re: Artober 2020
Suivre vos récits et découvrir vos créations est toujours un plaisir journalier ! Merci !
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20. Corail
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20. Corail
« Quand j'étais arriéré, j'avais des tas d’amis. Maintenant, je n'en ai pas un. »
« L'intelligence et l'instruction qui ne sont pas tempérées par une chaleur humaine ne valent pas cher. »
« Tu ne sais pas ce que c'est d'avoir quelque chose qui se passe en toi, que tu ne peux ni voir ni contrôler, et de sentir que tout te file entre les doigts. »
« Qui peut dire que mes lumières valent mieux que ta nuit ? »
Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
« L'intelligence et l'instruction qui ne sont pas tempérées par une chaleur humaine ne valent pas cher. »
« Tu ne sais pas ce que c'est d'avoir quelque chose qui se passe en toi, que tu ne peux ni voir ni contrôler, et de sentir que tout te file entre les doigts. »
« Qui peut dire que mes lumières valent mieux que ta nuit ? »
Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
- sandrinef
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Re: Artober 2020
20. Corail.
(Ma fille a jugé qu'il fallait rajouter des petits poissons.)
(Ma fille a jugé qu'il fallait rajouter des petits poissons.)
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
"Écrire, c'est ranger le bordel qu'on a dans sa tête...
Écrire, c'est ranger le bord d'elle.
Ou pas.
Écrire, c'est embrasser son chaos.
D'abord."
Écrire, c'est ranger le bord d'elle.
Ou pas.
Écrire, c'est embrasser son chaos.
D'abord."
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Re: Artober 2020
Bon je ne suis pas sure du tout que vous verrez un corail...ça n'est clairement pas le plus réussi
#20 corail
#20 corail
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artober J20 CORAIL
[mention]O'Rêve[/mention] exactement.
Pourtant je trouve aussi que Inktober est une belle histoire d'espoir.
On retrouve, dans mon texte cette idée d'odeurs alléchantes ne s'arrêtant pas aux portes comme chez Inktober.
Hope et Inktober pourraient s'entendre
« Hope : et les arbres de CORAL »
Cette rumeur, ce nuage d’espoir, commençait à se répandre de rue en rue, de village en village, et de cœur en cœur. Au travers les murs passant par les fenêtres quand les portes étaient fermées. Comme, un nuage, une odeur alléchante que dégageaient les auberges que la vie mettait sur sa route.
Tout avait commencé ce jour, dans ce petit village portuaire aux abords de la pointe des terres. Avec une belle plage au sable chaud entouré de palmiers et noix de coco. Ici, où les hommes avaient élu domicile depuis plusieurs générations.
Ce petit coin de paradis il l’avait alors appelé CORAL. Situé à l’abord de la mer, et connu pour ses voiliers parcourant les côtes du monde. Ce village portuaire avait la réputation d’avoir le meilleur poisson de la région. Quoi de mieux pour reprendre des forces, s’était-il dit, avant un long voyage en mer.
En arrivant, il croisa ce petit groupe d’hommes, qui travaillait la terre. Lors de leur échange, remplis d’éclats de rires, il y eut ce moment. Quand leurs visages se décomposèrent. Cet instant ou Hope, leurs parla de cette réputation. Ces hommes lui expliquèrent qu’il ne savait pourquoi, la mer les avait délaissées. Certains parlaient de test quand d’autres avaient perdu l’espoir.
Que ce qu’ils appelaient, la forêt marine, abritant ces poissons de toutes formes et toutes couleurs, avait disparu. Qu’elle c’était décolorer avant de se rétrécir, et que seule un petit ilot restait dans une petite crique non loin. Devant ces visages qui avaient perdu leurs sourires, il leur proposa d’aller avec eux, voir cet endroit où la magie de la nature subsistait.
Après avoir nagé dans l’eau une dizaine de minutes, ils arrivèrent sur place.
Il le ressentit tout de suite, cet appel à l’aide que lui faisaient ce petit ilot et ces trois braves hommes. Ces trois cœurs purs, cette fratrie, qui avaient décidé de chérir et faire subsister ce secret. Se restant de la réputation qui avait fait l’histoire de cette ville.
En sortant la tête de l’eau, les trois hommes virent quelques larmes d’une eau claire et pure ouvrir la porte de ces yeux. Dans un rayonnement de couleurs reflétant le soleil, elles se frayèrent un chemin entre cette eau salée pour venir s’étaler dans cet océan, ce petit coin de paradis. Des larmes de compassion et de bonheur devant cette beauté absolue lui rappelant ce petit bonsaï. Soudain, un petit morceau se détacha et vint se crocher sur une partie d’un rocher en contrebas. 9 autres tombèrent, et firent de même. Après son départ et seulement quelques mois après ce jour, ce petit coin de paradis avait reconquis l’espace perdue en plus de dizaines d’années. Depuis ce fameux jour, tout le village perpétuait ce geste d’amour afin de remercier, la mer de les avoir repris sous son aile. En échange, celle-ci, acceptait de leur donner une juste partie de sa chair.
Pourtant je trouve aussi que Inktober est une belle histoire d'espoir.
On retrouve, dans mon texte cette idée d'odeurs alléchantes ne s'arrêtant pas aux portes comme chez Inktober.
Hope et Inktober pourraient s'entendre
« Hope : et les arbres de CORAL »
Cette rumeur, ce nuage d’espoir, commençait à se répandre de rue en rue, de village en village, et de cœur en cœur. Au travers les murs passant par les fenêtres quand les portes étaient fermées. Comme, un nuage, une odeur alléchante que dégageaient les auberges que la vie mettait sur sa route.
Tout avait commencé ce jour, dans ce petit village portuaire aux abords de la pointe des terres. Avec une belle plage au sable chaud entouré de palmiers et noix de coco. Ici, où les hommes avaient élu domicile depuis plusieurs générations.
Ce petit coin de paradis il l’avait alors appelé CORAL. Situé à l’abord de la mer, et connu pour ses voiliers parcourant les côtes du monde. Ce village portuaire avait la réputation d’avoir le meilleur poisson de la région. Quoi de mieux pour reprendre des forces, s’était-il dit, avant un long voyage en mer.
En arrivant, il croisa ce petit groupe d’hommes, qui travaillait la terre. Lors de leur échange, remplis d’éclats de rires, il y eut ce moment. Quand leurs visages se décomposèrent. Cet instant ou Hope, leurs parla de cette réputation. Ces hommes lui expliquèrent qu’il ne savait pourquoi, la mer les avait délaissées. Certains parlaient de test quand d’autres avaient perdu l’espoir.
Que ce qu’ils appelaient, la forêt marine, abritant ces poissons de toutes formes et toutes couleurs, avait disparu. Qu’elle c’était décolorer avant de se rétrécir, et que seule un petit ilot restait dans une petite crique non loin. Devant ces visages qui avaient perdu leurs sourires, il leur proposa d’aller avec eux, voir cet endroit où la magie de la nature subsistait.
Après avoir nagé dans l’eau une dizaine de minutes, ils arrivèrent sur place.
Il le ressentit tout de suite, cet appel à l’aide que lui faisaient ce petit ilot et ces trois braves hommes. Ces trois cœurs purs, cette fratrie, qui avaient décidé de chérir et faire subsister ce secret. Se restant de la réputation qui avait fait l’histoire de cette ville.
En sortant la tête de l’eau, les trois hommes virent quelques larmes d’une eau claire et pure ouvrir la porte de ces yeux. Dans un rayonnement de couleurs reflétant le soleil, elles se frayèrent un chemin entre cette eau salée pour venir s’étaler dans cet océan, ce petit coin de paradis. Des larmes de compassion et de bonheur devant cette beauté absolue lui rappelant ce petit bonsaï. Soudain, un petit morceau se détacha et vint se crocher sur une partie d’un rocher en contrebas. 9 autres tombèrent, et firent de même. Après son départ et seulement quelques mois après ce jour, ce petit coin de paradis avait reconquis l’espace perdue en plus de dizaines d’années. Depuis ce fameux jour, tout le village perpétuait ce geste d’amour afin de remercier, la mer de les avoir repris sous son aile. En échange, celle-ci, acceptait de leur donner une juste partie de sa chair.
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
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Re: Artober 2020
#dizzy
Dur labeur mes mains
l’odeur fraîche la sciure
- l’arbre abattu
Je m'accroche, mais c'est laborieux, là aussi !
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Re: Artober 2020
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Re: Artober 2020
21. DORMIR
Sources Wikipedia :
Dans la civilisation maya, le jaguar est le réceptacle de croyances qui en font le soleil nocturne du monde souterrain, personnification de la mort et de la peur, et est considéré comme le protecteur de la maison royale. Les Mayas voient ces puissants félins comme leurs compagnons dans le monde spirituel […].
Dans la religion aztèque, le jaguar est considéré comme l'animal-totem de la puissante divinité Tezcatlipoca.
Tezcatlipoca (nom nahuatl signifiant littéralement « Miroir fumant ») est un dieu de la mythologie aztèque. C'est la plus crainte de toutes les divinités aztèques.
Tezcatlipoca est associé à de nombreux concepts : la nuit, la discorde, la guerre, la chasse, la royauté, le temps, la providence, les sorciers et la mémoire.
Obscur comme la nuit, Tezcatlipoca a le corps entièrement couvert de noir, exception faite des rayures jaunes de son visage qui l'associent au jaguar, son nahual.
Un nahual ou nagual est, dans les croyances mésoaméricaines ou d'origine mésoaméricaine, un être mythologique de nature double, à la fois humaine (ou divine) et animale.
Sources Wikipedia :
Dans la civilisation maya, le jaguar est le réceptacle de croyances qui en font le soleil nocturne du monde souterrain, personnification de la mort et de la peur, et est considéré comme le protecteur de la maison royale. Les Mayas voient ces puissants félins comme leurs compagnons dans le monde spirituel […].
Dans la religion aztèque, le jaguar est considéré comme l'animal-totem de la puissante divinité Tezcatlipoca.
Tezcatlipoca (nom nahuatl signifiant littéralement « Miroir fumant ») est un dieu de la mythologie aztèque. C'est la plus crainte de toutes les divinités aztèques.
Tezcatlipoca est associé à de nombreux concepts : la nuit, la discorde, la guerre, la chasse, la royauté, le temps, la providence, les sorciers et la mémoire.
Obscur comme la nuit, Tezcatlipoca a le corps entièrement couvert de noir, exception faite des rayures jaunes de son visage qui l'associent au jaguar, son nahual.
Un nahual ou nagual est, dans les croyances mésoaméricaines ou d'origine mésoaméricaine, un être mythologique de nature double, à la fois humaine (ou divine) et animale.
« Quand j'étais arriéré, j'avais des tas d’amis. Maintenant, je n'en ai pas un. »
« L'intelligence et l'instruction qui ne sont pas tempérées par une chaleur humaine ne valent pas cher. »
« Tu ne sais pas ce que c'est d'avoir quelque chose qui se passe en toi, que tu ne peux ni voir ni contrôler, et de sentir que tout te file entre les doigts. »
« Qui peut dire que mes lumières valent mieux que ta nuit ? »
Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
« L'intelligence et l'instruction qui ne sont pas tempérées par une chaleur humaine ne valent pas cher. »
« Tu ne sais pas ce que c'est d'avoir quelque chose qui se passe en toi, que tu ne peux ni voir ni contrôler, et de sentir que tout te file entre les doigts. »
« Qui peut dire que mes lumières valent mieux que ta nuit ? »
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- Fu
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Re: Artober 2020
Super, [mention]Nébulive Sakura[/mention], une bonne idée et une très belle image !
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Re: Artober 2020
[mention]Napirisha[/mention] Bien vue en zoomant on arrive à lire et je pense que tu as raison Merci
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
- Pascalita
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Re: Artober 2020
Euh... c'est pris avec un énorme zoom ou je ne sais quel attirail téléscopique, ou tu t'es vraiment approchée aussi près ?