Kayeza a écrit :Michel Onfray en parlait justement aujourd'hui [...]
Ahlala ... Onfray, ce bel escroc.
J'imagine que le type qui a lu Anders pour lui n'a pas eu le temps de lui rendre une copie correcte, parce qu'il devait finir le dernier chapitre du prochain Attali et qu'il était gravàlabourre. Bref, je tais ma gueule au sujet d'Onfray et n'en parlerai plus.
Anders parle du jazz, pas de la "danse". Jazz qu'il associe à une musique/danse "mécanique/mécanisée"; et il tente de démontrer que le jazz, émanation de la culture technicisée (contexte époqual, rythmes ...), tend à avoir une influence sur ... la sexualité de l'Homme, et donc, sa représentation et son rapport au monde. (En très gros
![Very Happy :D](./images/smilies/emoticon-0102-bigsmile.gif)
)
Autre chose, rapidement : le visage ne "disparaît" pas.
Anders exprime le postulat que pour dépasser sa propre finitude (en articulant ça autour du Dasein heideggerien), l'Homme (la femme, en l’occurrence, et par exemple) se vernit les ongles, afin de ressembler à une machine, et donc, se dirige plus vers une réification que vers une "disparition".
Bref.
![Yawn :yawn:](./images/smilies/emoticon-0118-yawn.gif)