Est ce que l'hypersensibilité s'exprime chez vous également dans vos goûts alimentaires?
Je suis une chieuse absolue pour les repas. D'après mes parents depuis mon sevrage. Je suis extrêmement sélective pour ce qui est de mon alimentation.
J'étais catalogué comme l'enfant casse-tête. Et étant d'une époque de l'invention du "goût à" et du tout prêt, j'ai pas mangé grand chose
![Rolling Over the Floor Laughing :rofl:](./images/smilies/emoticon-0140-rofl.gif)
Ce que j'appelle le "goût à", c'est le TANG (pour les plus jeunes du concentré d'orange déshydraté), qu'on me présentait comme étant du jus d'orange. J'avais beau expliquer que NON ce n'était pas du jus d'orange, et que je n'aimais que le vrai jus d'orange (une orange pressée quoi logique), je restais la chieuse, car si si ca a le même goût! J'étendais mon aversion à toutes les boissons aromatisées... Pour les repas, c'était pas mieux: la fameuse purée en flocon, que je détestais, et détectais immédiatement quand on voulait me gruger; Je haissais l'arrière goût du déshydraté: du "faux". Les plats pré cuisinés, industriels n'en parlons pas, l'aversion était totale.
Enfant, je me nourrissais de lait, de pain, de beurre, de confiture, de fruits (frais uniquement, en sirop ou sec, non), de quelques légumes précis, de pomme de terre, de pates ou de riz nature, de viandes (sauf les abats aux arrière-gouts trop étranges), de certains poissons et en boisson je n'acceptais que de l'eau ou des fruits frais pressés.
Depuis les choses ont très peu évoluées au final, même je suis moins regardante pour les boissons et autre petites choses, sauf que je suis devenue encore plus regardante sur la qualité de la cuisine en ayant été très mal habituée avec mon homme excellent cuisinier.... Je bois de l'alcool uniquement si je ne sens pas trop le goût de l'alcool et je commence à apprécier quelques gorgées de bon vin (je déteste le rosé).
Bref, et vous?