![Wink ;)](./images/smilies/emoticon-0105-wink.gif)
Mais là, non, cela n'explique pas tout. Il y a du travail et puis comme tu le dis, chacun est différentSoph a écrit :surdouée.
C'était vital pour moi dans le sens ou cela aurait tout expliqué comme par magie.
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Mais là, non, cela n'explique pas tout. Il y a du travail et puis comme tu le dis, chacun est différentSoph a écrit :surdouée.
C'était vital pour moi dans le sens ou cela aurait tout expliqué comme par magie.
Il peut, il semble, mais on ne sait pas.Pier Kirool a écrit : Et en plus, est-on sûr que le QI ne soit "que" génétique ? "L'environnement" ne peut-il pas jouer un rôle ?
Si l’intelligence est en partie inscrite dans les gènes, il apparait que l’environnement intervient dans l’expression de celle-ci. A ce propos, Tazouti (2007) rappelle que de nombreux facteurs interagissent dans le développement et l’expression de l’intelligence. Il y aurait ainsi :
- des facteurs individuels (biologiques, cognitifs, mais aussi conatifs) ;
- des facteurs familiaux (appartenance sociale, pratiques éducatives, valeurs familiales…) ;
- des facteurs institutionnels (pratiques pédagogiques, « effets-maîtres » et « effets établissements »…).
Néanmoins, il ne faut pas oublier qu’il n’y a aucun déterminisme, qu’il soit génétique ou sociologique dans le développement de l’intelligence, seulement une tendance observée ; et qu’une corrélation ne signifie pas qu’il y ait un lien de causalité entre deux variables.
BonjourAïnoa a écrit :Le QI est une caractéristique génétique personnelle. Donc même si il y avait ces événements "perturbateurs", ils ne peuvent pas baisser ton score de 20 ou 30 points, quelques-uns tout au plus.
Ce sont beaucoup de suppositions qu'on lit dans ton texte red et bien que respectables, il me semble que cela ne fait pas vraiment avancer le sujet (qui est d'ailleurs hors-sujetred a écrit :BonjourAïnoa a écrit :Le QI est une caractéristique génétique personnelle. Donc même si il y avait ces événements "perturbateurs", ils ne peuvent pas baisser ton score de 20 ou 30 points, quelques-uns tout au plus.
Je ne suis pas vraiment d'accord avec cette idée.
Si on arrive à un test la tête pleine de problèmes parce que vous venez d'apprendre que vous avez une maladie incurable, parce que des huissiers risquent de saisir vos biens, parce que votre enfant ceci, cela, parce que vous êtes noyé dans la paperasse suite à un problème financier, administratif ou que sais-je, ou encore en surentraînement sportif par exemple, eh bien je ne suis pas sur que les capacités de concentration soient au top. Idem pour la déduction, idem pour mémoire et ainsi de suite. Je pense que cela peut faire chuter lourdement un QI.
C'est comme pour un sportif. Les capacités de bases d'un sportif donc génétiques seront diminuées face à l'activité physique si ce sportif est malade, s'est mal alimenté avant l'échéance, s'il est déshydraté, pas concentré etc.
Enfin le QI considéré comme strictement génétique me gêne aussi. Il dépend pour beaucoup aussi d'un contexte environnemental.
Je ne suis pas strict adepte du Culturalisme mais des idées intéressantes s'y trouvent sur ce sujet.
Beaucoup? Je n' en vois que 2.Tatou a écrit :Hors-sujetCe sont beaucoup de suppositions qu'on lit dans ton texte red et bien que respectables, il me semble que cela ne fait pas vraiment avancer le sujet (qui est d'ailleurs hors-sujetred a écrit :BonjourAïnoa a écrit :Le QI est une caractéristique génétique personnelle. Donc même si il y avait ces événements "perturbateurs", ils ne peuvent pas baisser ton score de 20 ou 30 points, quelques-uns tout au plus.
Je ne suis pas vraiment d'accord avec cette idée.
Si on arrive à un test la tête pleine de problèmes parce que vous venez d'apprendre que vous avez une maladie incurable, parce que des huissiers risquent de saisir vos biens, parce que votre enfant ceci, cela, parce que vous êtes noyé dans la paperasse suite à un problème financier, administratif ou que sais-je, ou encore en surentraînement sportif par exemple, eh bien je ne suis pas sur que les capacités de concentration soient au top. Idem pour la déduction, idem pour mémoire et ainsi de suite. Je pense que cela peut faire chuter lourdement un QI.
C'est comme pour un sportif. Les capacités de bases d'un sportif donc génétiques seront diminuées face à l'activité physique si ce sportif est malade, s'est mal alimenté avant l'échéance, s'il est déshydraté, pas concentré etc.
Enfin le QI considéré comme strictement génétique me gêne aussi. Il dépend pour beaucoup aussi d'un contexte environnemental.
Je ne suis pas strict adepte du Culturalisme mais des idées intéressantes s'y trouvent sur ce sujet.).
Je ne sais pas non plus dans quelle mesure on peut supposer que ton score au WAIS aurait été meilleur, ni ne sais ce cela aurait changé au le diagnostic final. Pour l'instant tu sembles avoir besoin d'un chouilla de repos après ce résultat officiel de non-débilitéLoupiote a écrit :(…)
Je crois qu'on ne peut pas dire mieux.madeleine a écrit :Et surtout Loupiote, ce qui est prioritairement important a l'heure actuelle c'est que tu accordes toute la place à toute la tendresse que tu te dois, en tant que femme et mère. Je t'embrasse
Loupiote, je comprends un peu ton désarroi pour être passée par là. Même si on n'a plus cette "prétention" de pouvoir être diagnostiquée surdouée, il y a comme un goût d'inachevé à ne pas se retrouver totalement dans le bilan qui a été fait. On se retrouve devant une feuille qui regroupe l'évaluation de son intellect, de ses performances au test. Je pense que c'est pour ça qu'il peut être si pauvre du côté émotif qui a été effectif durant le test, par rapport à ta personnalité. Peut-être serait-il plus opportun de faire un bilan émotionnel ou une toute autre évaluation sur ce qu'il se passe psychologiquement pour toi. Cela pourrait t'être plus utile à présent.Je voudrais juste bien repréciser une chose : Je ne cherche pas à tout prix à être diagnostiquée surdouée, cela n'a aucun sens pour moi. Je suis interloquée d'une part par la description qui est faite de moi dans le bilan écrit car il ne reflète pas exactement ce que j'ai voulu communiquer à la psy, et d'autre part par ses remarques floues sur les circonstances de mon test.
Le point positif que je vois dans tout ça, c'est que tu as fait remonter à la lumière différents éléments qui étaient restés, comme tu l'as dit, sous le tapis. Il me parait évident que cette psy ne pourra pas t'aider, mais tu as au moins une vision plus claire de ta situation. Tu n'as peut-être pas reçu les réponses que tu attendais, mais ce processus t'a, il me semble, aidée à mieux formuler les questions. Et donc tu as plus de chances de pouvoir y répondre, seule et/ou en étant aidée, par ton entourage et/ou un/e professionnel/le.Loupiote a écrit :Donc pour moi, à ce stade, peu importe le résultat du test, je vais laisser tout cela de côté, et me concentrer sur cette dépression, puisque j'en connais les causes, afin que mon futur bébé n'en pâtisse pas à la naissance, et je verrai bien par la suite.
À mon avis, tu viens de pointer l'aspect essentiel. Peu importe le résultat du test : si l'on en arrive à cette liberté d'être qui l'on veut bien être (à s'autoriser à être qui on est, et ceci aussi sans savoir précisément ce que c'est), on a fait un énorme pas en avant sur lequel plus personne ne nous fera revenir. Et je trouve ça très précieux - ça vaut bien son pesant d'incertitudes, de questionnements, de flou, d'attentes restées sans réponse, etc.FeverDream a écrit :
Mais il y a aussi quelque chose de jouissif à se dire qu'on est libre d'être qui l'on veut bien être.